Les chiffres clés des évacuations et des dégâts en Russie et au Kazakhstan suite aux inondations d’avril 2024

Nombre de personnes évacuées :

Les opérations d’évacuation ont touché plus de 125 000 personnes dans les deux pays, avec une répartition de près de 80 000 en Russie et 45 000 au Kazakhstan. Ces chiffres soulignent l’ampleur des mesures prises pour garantir la sécurité des populations.

Dégâts matériels estimés :

• Russie : Les premières estimations des coûts des dégâts s’élèvent à environ 500 millions d’euros. Ces coûts comprennent la réparation des infrastructures telles que les barrages, les routes et les habitations endommagées.
• Kazakhstan : Les dégâts sont estimés à 150 millions d’euros, incluant les pertes agricoles dues aux terres inondées et la destruction de propriétés résidentielles et commerciales.

Impact sur les infrastructures :

• En Russie, la rupture du barrage à Orenbourg a nécessité une attention immédiate pour les réparations afin de prévenir d’autres ruptures ou défaillances structurelles dans des conditions similaires.
• Au Kazakhstan, la montée des eaux de l’Oural a endommagé des ponts et des routes essentiels, coupant l’accès à plusieurs communautés rurales.

Efforts de réponse et de reconstruction :

Les gouvernements ont mobilisé d’importants fonds pour la réponse immédiate et la reconstruction à long terme. Plus de 50 millions d’euros ont été débloqués pour les opérations d’urgence et les premières phases de reconstruction.

Préparation et prévention pour l’avenir :

Investissement dans des systèmes d’alerte précoce améliorés et des infrastructures résilientes, avec un budget prévu de plus de 200 millions d’euros sur les cinq prochaines années pour augmenter la résilience des régions à risque.

Ces chiffres révisés fournissent une vue d’ensemble plus précise de la situation actuelle et des efforts déployés pour gérer les conséquences des inondations d’avril 2024. Ils mettent également en lumière l’importance d’une préparation et d’une réponse efficaces aux catastrophes naturelles pour minimiser les impacts futurs sur les communautés vulnérables.